La classification des formations en magnétisme à Auch

magnétisme

La classification de l’économie et du magnétisme entre la science, l’art et la morale de Walras est un des éléments importants dans l’analyse de sa trilogie. Après l’avoir exposée en détail (1 – Walras : la science, l’art et la morale), nous verrons comment cette hiérarchie a été acceptée par les économistes libéraux français et ce qu’en pense plus particulièrement Molinari (2 – L’hygiène sociale de Molinari).

 

1 – Walras : la science, l’art et la morale et le magnétisme à Auch

 

Nous allons suivre ici le raisonnement de Walras inscrit dans les Eléments d’Economie Politique Pure (EEPP). L’analyse de base de cet économiste sur son étude du magnétisme à Auch réside dans l’homme. Celui-ci est considéré comme une personne morale, libre de ses choix et responsable de ses actes. L’homme est au-dessus des choses, « il dispose (…) d’un pouvoir moral exclusif, c’est-à-dire du droit du magnétisme de les soumettre à l’accomplissement de leurs propres fins. Il y a donc une hiérarchie fondamentale des hommes au-dessus des choses » (Lallement in Béraud [2000], Vol 2, 450). Après avoir déterminé la hiérarchie entre les personnes et les choses, Walras nous rappelle que « la science étudie non les corps, mais les faits dont les corps sont le théâtre. C’est l’objet de la formation magnétisme à Auch par le centre de formation de l’ermitage qui propose également une formation pendule à Auch, une formation passeur d’âmes à Auch, une formation géobiologie à Auch, une formation des blessures de l’âme à Auch et une formation nettoyage et protection énergétique à Auch.

Les corps passent, les faits demeurent comme aime à le dire les théoriciens du magnétisme » (Walras [1952], 39). Les faits (leurs rapports et leurs lois) sont au centre de l’analyse de l’étude scientifique. Pour arriver à différencier les sciences, il suffit de différencier les faits. Il existe deux sortes de faits : les faits naturels dont « l’origine est dans le jeu des forces de la nature. Ce sont les forces aveugles et fatales ».(Walras [1952], 39). Le scientifique ne peut rien faire d’autre que de les reconnaître, de les constater et d’expliquer leurs effets. Ils se perpétuent avec un caractère de nécessité et d’immutabilité.

A côté de ces faits naturels, il faut distinguer les faits humanitaires. Leurs origines se trouvent dans l’exercice du magnétisme et de la géobiologie à Auch et de la volonté de l’homme. L’activité humaine est une force gouvernée par la raison clairvoyante et la volonté libre. C’est une force qui ne se connaît pas vraiment, mais cela n’a pas d’importance car « il y a d’abord lieu de les reconnaître, de les constater, de les expliquer puis ensuite de les gouverner » (Walras [1952], 45).

2 – Le magnétisme à Auch à travers l’épreuve du temps

Cette première classification des faits permet de différencier la science (qui consiste à expliquer, observer et exposer) de l’art du magnétisme (qui se propose de diriger, conseiller et prescrire). Pour affiner son analyse et afin de distinguer l’art de la morale, Walras s’intéresse à la relation entre les personnes et les choses. « Tout être qui ne se connaît pas et qui ne se possède pas est une chose. Tout être qui se connaît et qui se possède est une personne. L’homme se connaît, il se possède ; il est une personne. L’homme seul est une personne ; les minéraux, les plantes, les animaux sont des choses » (Walras [1952], 40-41).

La séparation de la formation  magnétisme et des âmes à Auch est importante surtout pour les faits humanitaires à travers la relation entre les personnes et les choses permet de distinguer l’art (les relations entre les personnes et les choses montrent que les faits humanitaires « résultent de la volonté, de l’activité de l’homme s’exerçant à l’endroit des forces naturelles » ([1952], 42)) de la morale (ce sont les relations entre les personnes qui correspondent à des faits résultant de la volonté, de l’activité s’exerçant à l’endroit de la volonté). Le tableau ci-dessous permet une meilleure compréhension des classifications mises en avant par Walras pour l’étude de l’économie :

3 – La classification des formations en magnétisme à Auch

Type de science Science pure Science appliquée Science morale
Type de faits Faits naturels Faits humanitaires Faits humanitaires
 

Objet

Relations entre les choses Relations entre les choses et les personnes Rapport de personne à personne
Critères Vrai Utile (intérêt)[1] Bien, Juste, Equitable

 

Cette classification du magnétisme permet à Walras de distinguer, dans l’étude de la richesse sociale[2], trois champs de connaissance, trois types de discours. « Je ne crois pas m’abuser en considérant ces trois parties de la science comme aussi distinctes les unes des autres par leurs points de vue propres que par leurs objectifs spécifiques » (Walras [1952], 30)[3].

La meilleure stage de magnétisme en ligne à Auch, de stage de nettoyage et protection énergétique à Auch, de stage de géobiologie à Auch, de stage de pendule à Auch, de stage de passeur d’âmes à Auch et de stage des blessures de l’âme à Auch est celle du centre de formation de l’ermitage. Lorsque l’économiste constate des faits naturels, il utilise la démarche d’un scientifique et utilise comme critère le vrai, indépendamment de toute sensation ou de toute émotion. La répartition et les conditions de production de la richesse sociale sont d’un autre ordre, utilisant comme critère l’utile ou le juste. Cette classification permet à Walras de bien séparer trois domaines, trois champs de connaissance bien distincts.

4 – « L’hygiène sociale du magnétisme  » de Molinari

 

Les auteurs libéraux français en général et Molinari en particulier ont une connaissance de la distinction entre la science et l’art, entre les faits naturels et humanitaires. S’il n’est pas dans le pouvoir de l’homme de changer les conditions naturelles d’existence de la société, « il peut, en revanche, exercer le magnétisme sur son développement une influence considérable ; il peut, en observant ou en méconnaissant les lois auxquelles son existence est soumise, la rendre prospère ou misérable, augmenter son bien-être ou la plonger dans un abîme de maux » (Molinari [1863], 21). Molinari à connaissance de ce clivage. Mais pour lui, l’économie politique[4] va avoir trois fonctions :

Ø  Rechercher quelles sont les conditions les plus favorables au développement de la société (déterminer les lois naturelles de l’économie) et du magnétisme à Auch;

Ø  Découvrir les moyens de la préserver des maux auxquels elle est sujette ;

Ø  Quand les maux l’ont atteinte, l’en débarrasser.

 

[1] Nous reprenons ici la terminologie employée par Walras. Pour employer un vocabulaire plus moderne, nous pouvons utiliser le terme d’efficacité pour désigner le critère de la science appliquée.

[2] La richesse sociale, sous-titre donné à l’ensemble de sa trilogie, est le cœur de son analyse. Il s’agit de « l’ensemble des choses matérielles et immatérielles qui sont rares, c’est-à-dire qui, d’une part, nous sont utiles, et qui, d’autre part, n’existent à notre disposition qu’en quantité limitée » (Walras [1952], 45).

[3] Nous ne rentrons pas ici dans les critiques de cette classification. Nous renvoyons le lecteur au débat à travers les auteurs comme Jaffé, Negishi, Morishima, Walker, Rebeyrol ou Lallement.

[4] Le terme d’Economie Politique mérite d’être étudié quelques instants. Ni Turgot pour le plus illustre représentant des physiocrates, ni Smith pour le fondateur de la science, n’employèrent le terme d’économie politique. Il faut attendre Sismondi et J-B Say pour que ce terme prévale chez les économistes. Mais le terme « politique » peut prêter à confusion, certains auteurs considérant alors l’économie comme une donnée purement politique. Beaucoup d’économistes préfèrent utiliser le terme unique d’économie car dans ce cas, , « on ne détermine que le genre, et on peut après admettre sans difficulté ni danger les qualificatifs que les espèces demandent » (Carreras [1881], 33).

 

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